Résultats questionnaire BIATSS du SUP

Résultats questionnaire BIATSS du SUP

Vous avez été 805 AENES (Administration de l’Éducation Nationale et de l’Enseignement Supérieur) de l’Enseignement supérieur à répondre entre le 15 janvier et le 14 février 2020 à notre questionnaire sur les missions qui vous sont confiées, les conditions de travail, le management au sein de l’établissement… Il met notamment en évidence le manque de reconnaissance, de formation et de communication que vous ressentez au quotidien.

Édito du livret spécial « Questionnaire BIATSS du SUP »

Retrouvez les infographies en bas de page ou le livret complet en cliquant ici.

Main dans la main, nos syndicats des personnels administratifs, A&I UNSA, et techniques, UNSA ITRF-BI-O, sont allés à la rencontre des personnels de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, recueillir leurs expressions sur les missions confiées, les conditions de travail et le management au sein de l’établissement. Ce sont près de 2 000 personnels des universités, des bibliothèques, des CROUS et des organismes de recherche qui ont acceptés de se faire entendre. Cette parole est précieuse, quel que soit le grade, la fonction ou le lieu d’affectation. Il est temps de la rendre plus audible.

Alors que le conseil constitutionnel a rappelé le principe de gratuité de l’enseignement supérieur public, confortant ainsi sa place au sein d’un seul et unique service public d’enseignement de la maternelle au supérieur relevant de l’État, il est important d’affirmer  combien les fonctions d’administration générale exercées par l’AENES et celles exercées par les ITRF sont et doivent être complémentaires au sein d’établissements, qui, se rêvant parfois indépendants au-delà de leur seule autonomie, ne respectent pas toujours leurs droit, métiers et missions.  

De ce point de vue, l’éclairage qu’apporte ce questionnaire, réalisé avant la période du confinement causé par la crise sanitaire mondiale, est essentiel. Il nous permettra en outre de mesurer plus tard la réalité d’un « avant » et d’un « après crise », à l’heure même où tout ne semble pas joué pour une rentrée universitaire totalement apaisée. Prenez soin de vous !